Odile et Jacques

Odile et Jacques
Odile et Jacques

mercredi 29 mai 2013

Lundi 27 et mardi 28 mai : NISOS MYKONOS – NISOS TINOS (TINOS et ORMOS PANORMOS) (9M et 21M)

Bonne navigation au près (force 4) et amarrage au quai du vieux port de Tinos (19 euros car pour une nuit, on paie deux jours ; électricité - on n’en avait pas eu depuis Léros -, eau possible).
Bon supermarché Carrefour, boucherie qui vend du jambon cru de Tinos.
Le lendemain, on contourne Tinos par l’Ouest (vent portant force 4, faiblissant) pour venir mouiller à Panormos ; pas de vent, le calme avant la tempête ?
Nous sommes relativement protégés du vent de Sud, mais pas de la houle : nuit blanche, enfin, pas pour tout le monde !

Tinos, longtemps occupée par les Vénitiens, abrite une importante communauté catholique ; depuis que Sainte Pélagie a découvert l’icône miraculeuse de la Vierge, l’île vit désormais au rythme des pèlerinages orthodoxes.


Tinos





Les pénitentes montent à genoux le grand escalier qui mène à l’église de la Panagia Evanghelistria ;  nombreux ex voto de remerciements à la Vierge pour avoir évité un naufrage ou pour une guérison. 







Le monastère de Kechrovounio : autour de l’église les cellules des religieuses forment un coquet petit village.
Jacques se fait expulser par une nonne qui fantasme sur ses genoux ; ailleurs les popes sont moins regardants ! 





Vallée de Trabados






Dans la vallée de Tarabados, de nombreux pigeonniers, héritage des seigneurs vénitiens.











Les pigeons servaient à se nourrir et on récoltait leur fiente - comme en Cappadoce - qui servait d’engrais naturel.





















Pyrgos est réputée pour son marbre et ses sculpteurs.
Dans les maisons tiniotes, les portes et les fenêtres sont chapeautées d’un hyperthiras de marbre sculpté, aux motifs tous différents :








pigeons,















fleur et ifs,












bateau…









A Pyrgos, tout est en marbre : les monuments, le clocher, les tombes, les encadrements de portes ou fenêtres, les escaliers,








la fontaine,















le dallage…





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