Odile et Jacques

Odile et Jacques
Odile et Jacques

mercredi 31 août 2011

Mardi 30 août : PLATANIA – ILE SKIATHOS : SKIATHOS (15M)

Départ sous voile seule en attendant d’affaler le génois.
Navigation tranquille jusque l’île Skiathos, la première des Sporades : mouillage-baignade-repas dans la baie de Koukounaries, une des plus jolies de l’île, ourlée de plages de sable et boisée mais assez fréquentée…







Mouillage près du port de Skiathos, ville, elle aussi très touristique.

Lundi 29 août : VOLOS – PLATANIA (40M)

La température s’est rafraîchie et le meltem qui souffle depuis 12 jours, fait une pause…
Nous reprenons notre route vers les Sporades et le nord de la Grèce : louvoyage toute la journée (vent 4-5) jusqu’à ce que le génois lâche ; la réparation de fortune sur l’émerillon n’a pas tenu…
Moteur pour arriver au mouillage de Platania, juste avant la nuit ; l’anse est bordée de platanes, ce qui doit être courant dans la région car on y trouve trois Ormos Platania !

dimanche 28 août 2011

Vendredi 26, samedi 27 et dimanche 28 août : VISITE DES METEORES, DE VERGINA, DE THESSALONIQUE ET DE MAKRINITSA






Gigantesques pitons rocheux qui semblent surgir de nulle part, les météores offrent un spectacle grandiose.







Au XIV° et XV° siècle, à l’initiative de St Athanase venu du mont Athos, les moines y édifièrent 24 monastères perchés entre ciel et terre, afin de se rapprocher de Dieu ; le ravitaillement, ou même le transport des moines, se faisait par des échelles volantes ou des nacelles !
Ces monastères abritaient des ateliers d’art religieux : moines copistes, broderie au fil d’or et production d’icones.






Le Grand Météore, perché à 400 mètres d’altitude







Le Monastère de Varlaam







Agios Nikolaos







Roussanou, qui semble inaccessible







Agios Stefanos









Parmi les visiteurs, de nombreux grecs qui y viennent en pèlerinage ; les femmes se signent trois fois à l’envers - à la manière orthodoxe - et embrassent les icones.

Hôtel Meteora (40 euros, petits déjeuners compris -et très copieux- mais WiFi capricieux).

VERGINA
Vergina, ou Aigai, était l’ancienne capitale du royaume de Macédoine ; au IV° siècle av. J.-C., Philippe II, le père d’Alexandre le Grand, construisit un palais ; assassiné lors du mariage de sa fille, il fut enterré dans la nécropole royale, tumulus qui compte quatre tombes qui n’ont été mises à jour que très récemment.
Le musée est installé, in situ, sous terre, et présente à côté des tombes à l’allure de petits temples décorés de fresques, les objets qui accompagnaient les morts pour une vie future : mobilier funéraire, bijoux, couronnes de feuilles d’or, vaisselle en argent, armes…un véritable trésor !









Tombe de Philippe II







Urne funéraire en or de Philippe II; le soleil est le symbole de la dynastie







Fresque : le rapt de Perséphone par Hadès, dieu des enfers







THESSALONIQUE
Promenade dans la ville haute, sous les remparts et dîner dans la Taverna Tsinari, cuisine grecque simple mais bonne ; plusieurs églises byzantines, quelques jolies maisons mais la ville ne semble pas très animée pour un samedi soir…
Hôtel Nea Mitropolis (45 euros, petits déjeuners compris et accès internet qui fonctionne).
Visite au musée archéologique, très beau et très didactique (cependant, on regrette parfois le manque de lumière) ; il retrace les différents aspects de la vie en Macédoine de la préhistoire à l’Antiquité.







Flacons à parfums en verre soufflé et décoré







Couronne de feuilles en or, signe d’un haut statut social







Stèle funéraire avec des palmettes







Sol en mosaïques : Ariane endormie







Coupelle en argent, servant aux libations lors d’un symposium







DION
Au pied du Mont Olympe, le sanctuaire consacré à Zeus est fermé lors de notre arrivée… Il faut préciser que les horaires de nos trois guides sont différents et rarement conformes à la réalité…

MAKRINITSA
De retour à Volos, nous faisons un petit détour par la péninsule du Pélion, en particulier par le charmant village de Makrinitsa : petite place ombragée qui domine la vallée, maisons traditionnelles aux toîts de lauzes et aux balcons de bois ; elles sont décorées de petites lucarnes colorées (vraies en verre, fausses si elles sont peintes !) ; spécialités de fruits confits, on essaie les châtaignes qui s’apparentent aux marrons glacés.






vendredi 26 août 2011

Jeudi 25 août : ILE PALAIO TRIKERI – VOLOS (17M)

Retour au moteur vers le continent, à Volos en Thessalie ; nous nous amarrons au quai privé, le temps de faire le plein d’eau et de fuel, puis au brise-lames ; on ne comprend pas bien par qui le quai est géré ; nous rencontrons Carlos, qui nous dit que c’est lui le chef ; il nous parle de « mafia » et s’occupe de tout : l’amarrage, l’eau, le fuel, la laverie, la surveillance du bateau ; on lui donne ce qu’on veut…
Volos est un grand port commercial et nous servira de base de départ pour découvrir l’intérieur du pays ; ville très animée avec de nombreux commerces ; on en profite pour se faire couper les cheveux, la même coupe pour nous deux, 20 euros en tout !

Mercredi 24 août : ILE EUBEE (AY YEORYIOS) – ILE PALAIO TRIKERI (41M)

Un peu de moteur puis louvoyage (3 à 5) vers le nord-est en longeant la pointe nord d’Eubée : il nous aura fallu 5 jours de navigation, dans le chenal entre l’île et le continent, pour la dépasser.








L’évènement de la journée - que dis-je, du mois – nous pêchons quatre maquereaux !










Mouillage dans l’ilot Palaio Trikeri, à l’est du port, en portant une amarre à terre.

Mardi 23 août : ILE EUBEE : NEA ARTAKI – AY YEORYIOS (40M)

Vent capricieux aujourd’hui, de 3 à 6, avec des rafales…



Pendant près de deux heures, une dizaine de dauphins nous accompagnent et jouent avec le bateau, passant et repassant devant l’étrave ; ils assurent le spectacle en sautant - l’un d’eux exécute un saut périlleux parfait – et en poussant des petits cris ! Un moment magique !
















Mouillage à Ay Yeoryios, relativement abrité…

Lundi 22 août : ILE EUBEE : CHALKIS – NEA ARTAKI (3M)

Petite escapade dans le centre de l’île Eubée ; une fois passée la zone industrielle qui longe la côte, on trouve une plaine cultivée, céréales et arbres fruitiers.




Au loin, se détache le Mont Dirfis auquel on accède par une très jolie route de montagne rafraîchissante, bordée de pins et parsemée de ruches.




On accède à une grande plage isolée par une route étroite qui s’effondre par endroits ; le retour par la piste a un goût d’aventure…







Nous avons rendez-vous à la Police du port à 15H pour nous acquitter du péage (19 euros) et avoir quelques informations ; à 22 heures, le pont s’abaisse et se rétracte de chaque côté ; au premier appel de Thira sur VHF, nous nous préparons, au deuxième, nous passons sous les applaudissements des badauds…On devrait faire payer, d’autant plus que le pont a été construit pour les voitures, par pour les bateaux !
Il fait nuit, nous jetons l’ancre 3 miles plus loin à Nea Artaki, mouillage assez houleux…

lundi 22 août 2011

Dimanche 21 août : VISITE DE DELPHES ET DU MONASTERE D’OSSIOS LOUKAS

DELPHES (VI° au IV° siècle av. J.-C.)
Zeus fit partir deux aigles des extrémités de la terre qui se rencontrèrent à Delphes, l’omphalos, le nombril du monde.
Apollon tua le serpent Python et y installa son oracle qui se faisait l’interprète du dieu : la Pythie, prêtresse du sanctuaire, buvait l’eau de la fontaine Castalie et mâchait des feuilles de laurier ; elle entrait en transe et les prêtres annonçaient la prophétie aux pèlerins qui attendaient… C’est ainsi qu’Œdipe réalisa la prédiction de l’oracle, et, sans le savoir, tua son père et épousa sa mère…
Le site, grandiose et arboré, s’étage entre le Mont Parnasse et la vallée, avec au loin le Golfe de Corinthe.







Le sanctuaire d’Apollon






Le Trésor des Athéniens, don de la cité au dieu et le rocher de la Pythie






La tholos, temple circulaire dédié à Gaia, la déesse-mère de la terre






Apollon et Artémis tuant un géant






Statue chryséléphantine, en ivoire sculpté, décorée d’or






Les libations d’Apollon avec sa lyre






La colonne des trois danseuses, bacchantes, prêtresses de Dionysos






L’aurige, vainqueur de la course de quadrige








Même si nous n’avons pas vu les aigles, il se dégage de Delphes, une impression particulière, à la fois majestueuse et sereine, qui en fait notre destination préférée en Grèce.

MONASTERE D’OSSIOS LOUKAS (X°-XI° siècle)
Dans un cirque montagneux isolé, apparait tout à coup le Monastère d’Ossios Loukas.
L’ermite Loukas y fonda une première communauté monastique ; à sa mort, on construisit une deuxième église byzantine pour abriter ses reliques, sensées faire des miracles (Saint Luc est le patron des médecins) !








L’église, en forme de croix grecque et avec un dôme octogonal, servit par la suite de modèle… Construite de pierres et de briques, elle est décorée de frises de marbre blanc.
















A l’intérieur, on admire de magnifiques mosaïques à fond d’or, ainsi que le pavement de marbre.






Mosaïque de la Résurrection






Icône de la Vierge










Il se dégage de l’ensemble, une grande harmonie.

Ces deux sites sont inscrits au Patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO.

Samedi 20 août : ILE EUBEE : ERETRIA – CHALKIS (13M)

Nous poursuivons notre route dans le chenal d’Eubée vers le nord-ouest, au près (5-6) puis au moteur dans le détroit d’Eretria ; il faut attendre au mouillage avant de passer sous le premier pont puis attendre que le deuxième, le pont de Chalkis s’ouvre ; à cet endroit, le courant sur l’Euripe peut atteindre 6-7 nœuds et change de sens en général 4 fois par jour mais parfois jusqu’à 14 fois par jour !


Renseignements pris à la police du port, le pont ne s’ouvrira pas avant lundi soir ; assez dépités, nous allons mouiller dans la baie.

samedi 20 août 2011

Vendredi 19 août : ILE EUBEE : VOUFALO – ERETRIA (17M)

Navigation au travers avec un bon vent (5-6) et mouillage devant la plage d’Eretria.
On mange chez Roméo le kleftiko, qui s’apparente au navarin d’agneau mais on est un peu déçus…

vendredi 19 août 2011

Jeudi 18 août : ILE EUBEE : ORMOS KARISTOS – SUD DE VOUFALO (35M)

Après une brève accalmie, le vent souffle toute la nuit ; à 2 heures du matin, on se prépare pour parer à toute éventualité…
Le meltem doit encore forcir demain et durer une semaine ; un peu échaudés de nos aventures de la veille, on hésite à partir, mais finalement, tout se passe bien ; louvoyage dans le chenal entre l’île d’Eubée et le continent pour remonter vers le nord (force 5 puis 6).
Mouillage dans une petite crique, au sud de Voufalo ; désormais, nous sommes à l’abri d’un fort meltem et pourrons continuer notre route…

Mercredi 17 août : ILE MYKONOS – ILE EUBEE : ORMOS KARISTOS (54M)

Le vent se calme en fin de nuit et nous quittons Mykonos de bonne heure avec 2 ris dans la voile et la trinquette; la météo prévoit 5 puis 6 dans la journée.
Très vite, le vent forcit à 7-8 et nous affalons la grand voile, la trinquette seule nous permettant de bien avancer au bon plein, malgré la houle.
Nous longeons Tinos puis Andros ; en arrivant à Eubée, sensée nous abriter, rafales à 9 avec une mer creuse ; impossible de ferler la trinquette et le moteur a beaucoup de mal à lutter contre le vent ; nous nous faisons secouer, rincer, bref, on en bave… Il ne faut pas plaisanter avec le meltem !
Au bout d’une heure, mouillage devant la ville de Karistos, bien contents d’être arrivés.
Bilan de la journée : une paire de lunettes et le réflecteur radar au fond de la mer, eau à l’avant et coussins trempés (nos problèmes de fuite ne sont toujours pas résolus), les drapeaux français et grec ont rendu l’âme…

Mardi 16 août : VISITE DE DELOS

Nous aurions aimé mouiller à Délos, ce qui semble maintenant permis à plus de 500 mètres des côtes, entre 8H et 15H (sauf le lundi) et avec une autorisation spéciale ; ni la Police du port, ni internet ne peuvent nous renseigner, nous y allons donc en bateau-promenade…

DELOS
La nymphe Léto, enceinte de Zeus, mit au monde sous le palmier sacré de l’île de Délos, les jumeaux Apollon, dieu de l’art et Artémis, déesse de la chasse.
Occupée dès l’époque mycénienne, la cité prit de l’importance au VIII° siècle av. J.-C. quand les Ioniens y établirent un sanctuaire consacré à Apollon ; gardienne du trésor de la ligue de Délos, elle s’enrichit et devint le centre commercial de la mer Egée à l’époque hellénistique puis romaine.



Dans un décor grandiose, l’immensité de cette ville avec ses temples, ses échoppes et ateliers, ses maisons dont il reste colonnes et portes de marbre, donne une bonne idée de sa splendeur passée.






Les lions de Délos veillaient sur le temple de Léto.








Statues, mosaïques et fresques décoraient les maisons d’habitation :







Artémis à la biche.










Mosaïque de lion.










Beaucoup de vent et de houle cet après-midi, on renonce à partir…

mardi 16 août 2011

Lundi 15 août : ILE KEA – ILE MYKONOS (51M)

Départ à 7H du matin pour cette longue route : le meltem devrait souffler à partir de mercredi-jeudi et nous aimerions voir Mykonos et surtout si c’est possible, Délos.
Visite éclair de quelques dauphins qui viennent sauter près du bateau.
Le vent, irrégulier le matin, s’établit l’après-midi (4 à 6, à l’arrivée) ; mouillage dans le nouveau port de Mykonos, à 2km de la ville ; pas de capitainerie, le port est gratuit (mais il manque des pendilles et on ne peut se brancher au quai)…







La vieille ville de Mykonos est un dédale de ruelles étroites, aux maisons blanches résolument cycladiques, avec leurs toits en terrasse ; portes, volets et balcons sont peints de couleurs vives.





Les hautes maisons du quartier d’Alefkandra ont les pieds dans l’eau ce qui lui vaut le surnom de « petite Venise » ; il est parsemé de multiples petites chapelles blanches.





Les moulins, Kato Mili, s’alignent au-dessus du port ; leur présence dans les Cyclades rappelle que le vent y est omniprésent.






L’endroit est superbe, plein de charme mais très touristique ; Mykonos est la « ville branchée » de la mer Egée…

lundi 15 août 2011

Dimanche 14 août : SOUNION – ILE KEA : BAIE AYIOS NIKOLAOU (15M)

Brève incursion dans les Cyclades du nord, pendant une accalmie du meltem ; bon vent mais un peu de houle.
Mouillage à Kéa (ou Tzia), dans la baie Ayios Nikolaou.







La vieille ville d’Ioulis, à l’intérieur des terres s’étage sur la colline ; très pittoresque avec ses passages voutés et son lacis de ruelles en escaliers (Jacques réussit à me perdre !), elle n’a pourtant pas le même cachet que Hydra ou Kithira.

dimanche 14 août 2011

Samedi 13 août : LE PIREE – SOUNION (25M)

Après cet intermède, nous reprenons la mer pour la dernière partie de notre voyage de cet été, en mer Egée.
Bon vent mais qui change plusieurs fois de direction…


Mouillage au cap Sounion, où se dresse, tel un phare, le Temple de Poséidon, dieu de la mer.
Les anciens marins qui craignaient les colères de Poséidon, ne manquaient pas de lui faire une offrande avant de prendre la mer…






Ce temple dorique, contemporain du Parthénon, demeure un de nos préférés…

vendredi 12 août 2011

Mercredi 10, jeudi 11 et vendredi 12 août : VISITE D’ATHENES




ATHENES bénéficie de la protection de la déesse Athéna qu’on représente, toute armée, sortant du crane de Zeus !
Ce fut une importante cité mycénienne au deuxième millénaire av. J.-C. et Thésée, fils d’Egée et vainqueur du Minotaure, lui redonne son indépendance.
Après une période de déclin, les victoires de Marathon et Salamine sur les Perses lui rendent son prestige ; au 5° siècle av. J.-C., sous le règne de Périclès, Athènes s’impose comme foyer de la civilisation occidentale, en raison de son rayonnement commercial, politique (instauration de la démocratie), intellectuel et artistique.

ACROPOLE


Le Parthénon majestueux domine Athènes ; ce temple dorique, dédié à Athéna, a été construit par Phidias qui en avait corrigé les erreurs d’optique en amincissant le haut des colonnes ; en perpétuelle reconstruction (actuellement les travaux portent sur les murs latéraux de la cella), il est malheureusement difficile d’échapper aux grues…et aussi à la foule…









L’Erechthéion de style ionique, séduit par l’élégance des caryatides, dont les originaux sont conservés au musée ; dans la cour, l’olivier sacré d’Athéna, symbole de sa victoire sur Poséidon pour la protection de la ville.
















MUSEES
Le musée de l’Acropole, moderne, met bien en valeur les vestiges souterrains ainsi que de belles statues de korês ; très belle reconstitution du Parthénon, grandeur nature, avec ses frontons et ses frises, mais il est un peu décevant de ne voir que des copies, les originaux se trouvant au British Museum de Londres…
Cafétéria recommandée si on veut manger vite, bon et pas cher !
Le musée d’art cycladique
La collection d’art cycladique est magnifique ; on est séduit par les idoles, ces figurines de marbre aux lignes épurées qui ont inspiré des artistes du XX° siècle, tel Picasso.
Très beau musée, des explications claires, on aurait aimé y passer plus de temps…
Le musée national archéologique
A chaque visite, les objets en or provenant des tombes mycéniennes, nous éblouissent. Les magnifiques collections de statues, de bronzes et de vases font revivre l’art grec de la préhistoire à l’antiquité.
Musée magnifique, à ne pas manquer (par contre la cafétéria est à éviter) !
Le musée Benaki
Musée intéressant, beaucoup d’objets en or, d’icones de l’époque byzantine, de costumes traditionnels et objets de la vie quotidienne.
Cafétéria : bon mais un peu plus cher…

La plupart des photos proviennent de ces deux derniers musées ; on a essayé de respecter l’ordre chronologique, mais il y a sûrement des erreurs…









Idole cycladique, statuette de marbre déposée près du défunt.











Le masque d’or d’Agamemnon, trouvé dans une tombe de Mycènes.










Animaux en terre cuite.









Fresque de Mycènes représentant une déesse qui tient un collier.









Collier de l’époque mycénienne, toujours à la mode !










Jument et son poulain.









La korê Phrasicleia avec sa couronne et sa robe fleurie.










Scène de combat d’un cratère à figures noires.












Korê à la longue chevelure frisée.













Poséidon, repêché dans une épave au large du cap d’Artémision.










Stèle funéraire d’Hégésô : la jeune fille examine un bijou que lui tend sa servante.






Tête d’Hygie, fille d’Asclépios et sœur de Panacée.






Statue en bronze d’éphèbe.





Le fougueux jeune jockey d’Artémision.








Casque guerrier.






Couronne en or.





Icône, de la période post byzantine, représentant l’adoration des mages.








Vierge à l’enfant, détail d’une iconostase.





Broderie d’un trousseau de mariage.






Costumes traditionnels.









AU FIL DES RUES…
Nous avons pris plaisir :
à nous promener dans Plaka, le vieux quartier animé, sous l’Acropole,
à revoir la « Petite Métropole », minuscule église byzantine aux murs sculptés,
ainsi que la Tour des vents de l’agora romaine,
et enfin, à grimper jusqu’au Théséion de l’agora grecque d’où la vue sur l’Acropole est spendide…
Pour notre dernière soirée, restaurant Scholarhio, rue Tripodon dans Plaka : assortiment de spécialités grecques (plus on est nombreux, plus on a de choix !), bon et prix correct ; quelques airs de rebétiko, chants grecs accompagnés d’un bouzouki.