Temps nuageux et même quelques
gouttes de pluie ; bord de travers (force 4) pour arriver à Santorin.
L’entrée dans la Caldeira est toujours
un moment extraordinaire ; en haut de la falaise, les villages d’Oia et de
Thira (ou Fira) sont d’une blancheur éclatante…
On mouille dans le Sud, près de
la plage rouge, à l’abri du vent mais pas trop de la houle…
Le lendemain, on essaie de
mouiller sous la pointe Akrotiri, mais les fonds de galets de basalte ne nous
conviennent pas ; on retourne à notre mouillage précédent…
En 1650 av. J.-C., ce volcan a
explosé, pulvérisant cette florissante cité et laissant au centre une immense Caldeira
à 300 mètres de profondeur; l’éruption a créé un raz de marée qui a submergé la
Crète et détruit la civilisation minoenne ; sept siècles plus tard, les
Doriens sont revenus s’installer sur les terres ainsi fertilisées, la
surnommant Kalliste, la plus belle…
Les îlots centraux Palea et Nea
Kameni sont le fruit d’éruptions postérieures.
Bien que notre dernière visite
date de septembre dernier, on y retourne avec autant de plaisir !
Oia, très joli village
qui s’agrippe à la falaise ; maisons, églises, terrasses et escaliers s’imbriquent
harmonieusement.
Incontournables à
Santorin, les clochers bleus,
les moulins et
campaniles,
et bien sûr les ânes !
Derrière Oia, l’îlot
Thirassia
Une « maison
bretonne », selon Philippe !
Le décor invite à la
sieste !
Firostefani et au fond,
Oia
Fira, la capitale de l’île,
malheureusement vraiment très touristique…
Falaises de basalte et de
cendres volcaniques, blanches, noires ou ocres…
Catherine et Philippe,
devant la Plage Rouge
Difficile d’y faire
crocher l’ancre !
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