Chaleur
moite, 30°C le matin, 38 l’après-midi ; on se lève à 6 heures du matin
afin de travailler à la fraîche et on se couche de bonne heure. Des averses
orageuses viennent souvent interrompre nos travaux...
Bon
accastillage mais avitaillement restreint à la marina ; il faut prendre
un taxi - style aluguer -, pour faire les courses.
Nettoyage du bateau
On
le trouve très sale, les bouts sont noirs de moisissures comme s’ils avaient
passé six mois dans un aquarium livré à lui-même... Deux lavages du pont équivalent
à un prélavage. On donne la coque à nettoyer au chantier de Peake, qui
s’occupera aussi de l’antifouling.
L’intérieur
est sec, le déshumidificateur a bien fonctionné ; il nous reste à le vendre
car il est en 110 volts ; finalement, on le laissera à Nygel, l’ouvrier du
chantier qui nous avait menés à l’aéroport dans sa voiture brinquebalante.
Énergie
On
doit changer nos trois batteries de service déchargées par un courant de fuite
que n’a pas compensé notre mini-panneau solaire. Le plus difficile, c’est d’en
trouver qui arrivent à se loger sous le plancher ; en le rabotant un peu, deux
batteries AGM de 255Ah viennent remplacer nos trois au plomb de 120Ah : on y
gagne en énergie mais le porte-monnaie s’allège...
Le
vernis des panneaux solaires commence à partir ; on les décape avec un
solvant (à base d’acétate d’éthyle) avant d’en vaporiser une nouvelle couche. Pour
le moment, cela semble efficace, à confirmer à l’usage.
Instruments
Remplacement
du loch-speedo et du sondeur par John qui arrive à trouver un passage dans la
gaine ; compétent et serviable, il remplace James parti s’installer à Tortola.
Guindeau
Dynamite
Marine l’a débloqué ; Jacques refait à nouveau les contacts.
Voiles, lazy-bag, capote
Petite
révision des voiles, sans gros problème.
On a
offert à Thira un nouveau lazy-bag ainsi qu’une nouvelle capote qui
nécessitent plusieurs essayages.
Comme
souvent, les différents prestataires sont difficiles à contacter mais le
travail semble bien fait, ce qui est l’essentiel !
Davantage
d’animation la deuxième semaine ; on a la surprise de retrouver l’équipage
danois de Mor Karen : Claus a traversé seul l’Atlantique l’an dernier et
Karen l’a rejoint aux Antilles ; ils remontent vers la Martinique, on
espère faire un bout de chemin avec eux dans les Grenadines.
Après
la mise à l’eau, on reste quelques jours à quai mais à bonne distance en raison
du ressac, ce qui nous oblige à débarquer en annexe...
bonne navigation sous les cocotiers
RépondreSupprimern'abusez pas du ti-punch
amitiés et bises
joël