Du moteur et un peu de voile
(force 1 à 3) ; on traverse le Golfe de Sagone et on longe la côte avant
d’emprunter la passe entre la pointe de la Parata et les Iles Sanguinaires, qui
mène au Golfe d’Ajaccio.
Le vieil Ajaccio
Amarrage à Ajaccio dans le
port Tino Rossi (67 euros) ; nous avions fait une réservation par internet
(Magelan e-resa) qui n’avait pas encore été traitée, mais qui apparemment nous
a permis d’avoir une place.
Port Tino Rossi,
près de la Citadelle
Selon la légende, Ajaccio
aurait été fondée par le héros Ajax ; colonie romaine, elle devint génoise
au XV° siècle, lorsque l’Office de Saint Georges administrait la Corse. Après
une intervention militaire française, Sampiero Corso redonna Ajaccio aux
Corses ; la ville vivait du commerce et de la pêche au corail.
Ajaccio a vu naître Napoléon
Bonaparte ; rues, statues et musée lui sont dédiés.
On arrive trop tard pour
visiter le Musée Fesch et la Citadelle, zone militaire, ne se visite pas.
Restaurant Da Mama, bon mais
relativement cher.
Tous les matins, il y a un
sympathique marché sur la place du Maréchal Foch avec de nombreuses spécialités
corses :
charcuterie
(lonzu, prisuttu, figatellu et salciccio),
fromages de chèvre
et de brebis,
biscuits secs (canistrelli
aux amandes), gâteaux à la farine de châtaigne, imbrucacciata et fiadone à base
de brocciu, miel et confitures ; on trouve aussi du bon vin corse (on aime
beaucoup le Fiumicicoli), du muscat du cap Corse et de l’eau de vie de figue,
plus ou moins vendue sous le manteau…
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