On dépasse la
presqu’île de Grande Île Rousse
et on navigue avec un petit
vent (force 2 à 3) au grand largue, vers la pointe de la Revellata qui protège
Calvi.
Mouillage pour le repas à
l’Est de la pointe ;
Antoine prend trois
autres poissons avec son harpon, ce qui complétera la pêche de la veille.
Retour pour la nuit à
Calvi ; pas de place dans le port, on prend une bouée (30 euros) pour ne
pas être trop loin de la ville.
Calvi est surnommée la
« perle de la Balagne » ; fondée par les Romains, elle se
développe au Moyen-âge sous la domination de Pise, mais surtout à partir du
XIII° siècle, à l’époque de Gênes qui lui accorde des privilèges ; la
Citadelle, « Civitas Calvi semper fidelis » s’oppose aux Français,
aux Espagnols et enfin aux Anglais emmenés par Paoli (Nelson y a perdu son œil)
; elle devient française après le traité de Versailles.
Calvi revendique, elle aussi,
la naissance de Christophe Colomb, à l’époque où la ville était génoise.
Calvi gardée par
sa citadelle génoise
Les maisons de la
citadelle s’encastrent sur ces rochers creusés de « taffoni »,
et laissent
entrevoir le port.
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