Moteur
Après la grosse
intervention de Gwen Marine aux Sables d’Olonne, le moteur ne devait pas poser
de problème. Le tableau de commande fonctionne bien, les voyants d’alarme
aussi ; par contre, la sonde de niveau du fuel ne marche pas, et nous n’en
avons pas trouvé la cause...
Alternateur
Quelques soucis de
charge avec l’alternateur nous ont conduits à suspecter le booster (A to B de
Sterling). On l’a finalement remplacé par un classique répartiteur, car
certains pensent que le A to B fatigue l’alternateur en le poussant à produire
à son niveau maximum. En fait le problème de charge venait d’une soudure de
connexion défaillante ; bête, mais il fallait démonter le régulateur pour
le voir et cela nous a pas mal gênés au début de la saison. Je ne crois pas remonter
le A to B, maintenant que nous ne ferons plus de grandes traversées.
Batteries
La batterie moteur a
rendu l’âme, elle a été changée à Largs.
Groupe d’eau
Depuis quelques temps,
le groupe d’eau sous pression se mettait en route très fréquemment. C’est le
pressostat qui devenait défaillant, remplacé à Dublin.
Guindeau
Toujours des problèmes
avec les contacts électriques exposés aux conditions marines. J’ai changé les
contacteurs de guindeau, une nouvelle fois.
C’est bizarre que ces
fournisseurs ne soient pas capables d’étancher correctement leurs pièces ;
à moins que ce ne soit volontaire ?
C’est la même chose
pour les feux de navigation : ils trempent dans l’eau de mer à chaque nav,
mais ils sont mal protégés contre la corrosion !
Winches
La mâchoire du winch de
drisse tribord a éclaté lors d’une manœuvre. J’avais la pièce de rechange.
La sécurité du winch de
génois tribord sautait régulièrement. On a soupçonné une température trop
élevée dans le compartiment moteur, alors que la ventilation avait été refaite
par Gwen. En fait, une partie des connexions (montage assez compliqué !)
s’était débranchée !
La bavette de
protection du sail drive s’est décollée. Gwen avait l’air surpris, nous
aussi ! Cela faisait un bruit et des vibrations plutôt inquiétantes.
La gaffe télescopique est partie à l’eau
lors d’une manœuvre ratée…
Pas de problème avec le
dessalinisateur, dont j’avais refait soigneusement les joints d’étanchéité ; et
pour cause : nous ne l’avons pas utilisé. Pas de besoin en croisière côtière et
l’eau était tellement polluée que ce n’était pas recommandé : déchets de
farines pour poissons, algues, méduses, suspensions vaseuses...
Au final, pas de gros
problèmes, mais la navigation n’était pas très longue.
Les travaux de remise
en état avant la saison 2019 seront aussi limités à l’entretien classique, à
moins de surprise lors du carénage...
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