Nous quittons Egine et sa côte sauvage.
Toujours peu de vent, navigation au moteur jusqu’à Athènes ; la côte apparait, couverte de constructions blanches (un tiers des grecs vivent dans la mégapole d’Athènes), si bien qu’au loin, elle serait presque belle s’il n’y avait pas ce nuage de pollution au-dessus du port commercial du Pirée…
Amarrage à la Marina Zea - la seule qui nous ait répondu - pour quelques jours (47 euros, eau et électricité non comprises).
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