On poursuit notre repérage
au moteur.
Après avoir dépassé la
réserve naturelle des îles Bruzzi, on pénètre dans la grande anse
Chevanu ; mouillage possible dans le fond de la baie à la limite du sable
car les fonds remontent vite.
La baie de Figari ne remonte
pas dans notre estime : le mouillage au pied de la tour de Caldarellu
ainsi que celui sous l’îlot de Porraja ne comportent pas de sable ; on n’explore
pas le fond de la baie dont les pontons semblent colonisés par les catamarans
de location.
Dans le golfe de Ventilègne,
l’anse de Porticcio, mouillage possible par 10 mètres sur du sable, en-dessous
il semble plutôt y avoir de l’herbe ou des graviers.
Par contre le Port de
Stagnolo, petit port naturel bordé de rochers, devant une belle plage de sable
nous séduit ;
beau mouillage de
sable,
qui se prolonge au
sud des îlots rocheux où nous mouillons afin d’être abrités du vent d’Est.
Petites raies sous le
bateau.
Nous n’avons pas pu faire de
courses depuis Propriano, aussi Jacques se lance-t-il dans la fabrication d’un
pain ; 33°C dans le bateau, la pâte pousse à vue d’œil, le résultat est
assez encourageant, mais sera amélioré en utilisant une farine plus adaptée.
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