Décidément, les mouillages de la côte adriatique sont houleux !
On continue à remonter au NW, contre le vent, la mer, le courant, et on s’aide du moteur…
La côte devient plate, raffinerie, usines…
Plein de carburant à Brindisi (pas assez de fond dans les ports précédents !) et amarrage à la nouvelle Marina (39 euros) avec vue sur le fort mais loin de la ville. Le port ne semble pas avoir eu le succès escompté: beaucoup de places sont libres, pas de commerces, pas de laverie (mais service possible). Accueil sympathique.
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